photo LIBERTE, J'AURAI HABITE TON REVE

LIBERTE, J'AURAI HABITE TON REVE

Théâtre

AVIGNON 84000

Du 15/07/2021 à 20:30 au 20/07/2021 à 20:30

Avec Marie-Laure Crochant, Majnun, Felwine Sarr, T.I.E Texte René Char, Frantz Fanon, Felwine Sarr Mise en scène et scénographie Dorcy Rugamba Musique Majnun, T.I.E Debout et libre. Voilà comment résumer cette création originale qui part à la rencontre de trois hommes ayant choisi l'écriture comme art de toutes les résistances : René Char , le poète, Frantz Fanon , le médecin et Felwine Sarr , l'économiste pour qui la littérature est une nécessité vitale. A leurs côtés, Dorcy Rugamba , metteur en scène, Marie-Laure Crochant , comédienne, T.I.E et Majnun , musiciens, unis dans une quête incessante de liberté et par la même volonté de nous proposer « des mondes habitables». Ils donnent corps à cette partition plurielle et sensuelle qui tisse des matières sensibles : récits et chants, images et sons. « Nous oublions que l'universalisme est pluriversel, que nous vivons tous la même expérience humaine mais que nous ne pouvons pas tous avoir le même visage de l'expérience humaine. » Comme les figures qu'il convoque, ce spectacle se dresse face à l'abject en proposant de toujours articuler conscience individuelle et communauté de destin vers laquelle le futur nous pousse. Médecin[...]

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SONOMA

Danse - Bal - Cabaret

AVIGNON 84000

Du 21/07/2021 à 22:00 au 25/07/2021 à 22:00

Avec Alba Barral, Àngela Boix, Julia Cambra, Laia Duran, Ariadna Montfort, Núria Navarra, Lorena Nogal, Marina Rodríguez, Sau-Ching Wong Direction artistique Marcos Morau Chorégraphie Marcos Morau en collaboration avec les interprètes Texte El Conde de Torrefiel , La Tristura et Carmina S. Belda S'il y a un paradis, il est ici et maintenant ( Luis Buñuel ) Au son des battements de tambours et d'un vibrant chant folklorique, neuf danseuses entrent dans la ronde en une danse frétillante. Un essaim, une nuée. Elles glissent à vive allure dans leurs costumes traditionnels rayés, derviches faisant tourner leurs longues et larges jupes. Au centre de la scène, une croix aux cordes enroulées place la performance sous un signe mystique et énigmatique. Au commencement est le verbe, le cri, souffle primitif de la vie, le corps et la chair. De ces corps en mouvements, des images surgissent. Impressions et paysages oniriques aux contours flottants où passé, futur et présent se confondent. La horde des femmes se meut, se débat, se rassemble, crie et tente de se libérer. Le langage chorégraphique singulier de Marcos Morau nous attire aux frontières du réel avec une force tellurique impressionnante.[...]